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Ma méthode de travail

J’ai été formé pendant près de 2 ans aux techniques thérapeutiques de l’hypnose Hunkaarienne. Cette méthode a été mise au point par Jean-Emmanuel Combe (père de la street-hy​pnose) et qui a étudié et synthétisé les travaux d’Erikson et de Pierre Janet à la différence près que ces deux sommités de l’hypnose n’avait pas l’éthique et l’écologie de savoir si ce qu’ils faisaient avec l’inconscient de leurs patients convenait aussi aux personnes qui les consultaient.

Mon rôle est de permettre à votre inconscient de s’exprimer librement et de manière à libérer les émotions en rapport avec la ou les problématiques rencontrées.

Dans la méthode que j’utilise, il n’y a aucune place à la suggestion, et surtout aucune place à l’interprétation des informations transmises par votre inconscient.

Mon rôle est de poser des questions et être dans l’accompagnement afin d’aider à libérer les blocages éventuels qui empêchent les libérations émotionnelles liées aux traumatismes traités.


Pourquoi l’hypnose ?

Qu’on y croit on non, tous nos comportements (addictions, peurs, stress, insomnies, TOC, douleurs, angoisses, anxiétés, etc.) sont quasiment tous liés à des traumatismes vécus par le corps. Pour nous, un traumatisme peut être considéré comme insignifiant ou important mais pour notre inconscient (notre intelligence émotionnelle), il n’y a pas de notion de valeur aux traumatismes vécus. Il n’y a pas de grands ou petits traumatismes, il y a traumatismes point.

La seule et unique manière de libérer ces traumatismes est l’hypnose.

Beaucoup de personnes me disent : « j’ai déjà tellement pleuré sur ça ». Oui mais ce qui est pleuré sont les gouttes qui débordent du vase alors qu’avec l’hypnose que je pratique, le but est de vider le vase et de faire en sorte que l’inconscient puisse ensuite réparer, substituer le traumatisme afin que le vase ne se remplisse plus.

Il n’est en aucun cas question d’amnésier le traumatisme. Les mémoires des faits ne sont jamais amnésies. Ce qui est arrivé est arrivé. Par contre, faire en sorte que le traumatisme ne génère plus d’émotion et donc amène un changement comportemental, émotionnel et même physique.


Quelle hypnose ?

On entend souvent parler l’hypnose Eriksonienne. Aujourd’hui c’est une hypnose qui n’en porte que le nom car en réalité elle n’est pas enseignée, n’est pas pratiquée et ce n'est pas celle que je pratique.


Pourquoi cette hypnose n'est pas enseignée comme elle le devrait ?

Tout simplement parce que les grandes écoles qui enseignent l'hypnose ne peuvent pas se le permettre. Apprendre l'hypnose telle que Erikson ou Janet la pratiquaient demande de nombreuses années de formations et les personnes susceptibles de la pratiquer n'ont pas le temps de se former à ces pratiques. Le seul qui à plus ou moins l'honnêteté de le dire est le directeur de l'ARCHE (école d'hypnose à Paris).

Erikson n’était pas du tout écologique et imposait à l’inconscient des personnes qui le consultaient, un mode de fonctionnement qu’il estimait être le meilleur pour régler leurs problématiques mais qui n’était pas nécessairement pour le conscient.


Il est cependant nécessaire de remettre les choses dans leur contexte. Erikson était psychiatre et voyait des profils particuliers. Contrairement à ce qu’on imaginer voir à travers ses séances filmées, il était une main de fer dans un gant de velour et encore, le gant était là juste pour faire joli. A chacun son métier, je ne suis pas psychiatre.


Hypnothérapie signifie : « Thérapie » par une technique qu’est « l’hypnose ».

On ne change pas des comportements et un mode de vie d’un coup de baguette magique.

La seule exception est concernant certaines phobies (peur des araignées, serpents, etc.) et à condition qu'il n'y ait pas d'émotionnel derrière cette phobie.


Je dis souvent en riant et sans aucun jugement que, si vous croyez aux miracles, allez à l’église. Par contre, si vous souhaitez avancer dans votre vie et faire sauter les blocages qui vous empêchent de progresser, quelle que soit la technique thérapeutique que vous choisissez, soyez investi(e) dans votre chemin vers le mieux-être. N’attendez ni des autres, ni de votre thérapeute qu’ils fassent les choses à votre place. Nous sommes là pour vous aider et vous donner des outils, par pour les utiliser à votre place et encore moins pour vous sauver. Ça c’est votre rôle et de votre responsabilité. C’est votre choix de le faire ou de ne pas le faire.

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